Un bilan désastreux pour le Taekwondo marocain aux JO de Paris et des demandes de départ d’Al-Hilali de la présidence de l’université

Le taekwondo marocain a connu une issue désastreuse aux JO de Paris 2024, après l’exclusion précoce de la compétition des deux joueuses, Omaima El Boushti et Fatima Zahraa Abu Fares.

La composante masculine était également absente de la participation aux JO de Paris 2024, après avoir échoué à se qualifier pour les JO, malgré le gros potentiel alloué à cette université.

Beaucoup ont imputé l’échec du Taekwondo marocain aux JO au président de l’université, Idriss Hilali, exigeant qu’il quitte l’Université de Taekwondo, en raison du lamentable échec de ce sport aux JO de Paris.

D’autres ont appelé à lier la responsabilité à l’obligation de rendre des comptes, en tenant le bureau de l’Université royale marocaine de taekwondo pour responsable de cet échec lamentable des Jeux olympiques.

Bien que le Maroc compte plus de 30 000 pratiquants de Taekwondo répartis dans plus de 365 associations sportives, l’échec a été le thème principal de la participation aux JO de Paris.

Cet échec n’est pas seulement le résultat des Jeux olympiques de Paris, mais plutôt le prolongement d’années d’échec, le taekwondo marocain n’étant jamais entré dans le tableau des médailles olympiques au cours de l’histoire.

Idris Al-Hilali a été président de l’Université de Taekwondo pendant plus de 22 ans, sans réaliser aucun exploit au niveau olympique, ce qui impose la nécessité d’opérer un changement majeur au sein de cette université, pour que

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page
close button