Cinq emplois risquent de disparaître à cause de la technologie
Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Presse – Rabat
Une étude publiée par un institut français spécialisé dans les questions de technologies modernes a montré que cinq emplois risquent de disparaître dans les décennies à venir à cause de l’intelligence artificielle et de l’automatisation. L’institut, connu sous le nom de Sabian, a analysé l’impact du progrès technologique sur le marché du travail au cours des trente dernières années, identifiant les professions les plus menacées d’extinction.
Selon un rapport publié par le journal « Les Echos », l’institut a commencé par analyser 15 métiers potentiellement automatisables, puis a comparé ces métiers avec des métiers qui ont connu une baisse significative du nombre de travailleurs qui les occupent. Arwan Tesson, directeur des études à l’institut, a expliqué que « les emplois à coût élevé pour les travailleurs sont les plus susceptibles d’être remplacés par des machines ».
Sur la base de ces analyses, l’institut a classé cinq professions les plus menacées de disparition :
Banques et assurances Les banques et assurances arrivent en tête de liste puisque le nombre de salariés dans ce secteur en France est passé de 356 000 en 1986 à 221 000 ces dernières années, soit une baisse allant jusqu’à 39 %. L’institut s’attend à ce que ces emplois disparaissent complètement entre 2038 et 2051.
Comptabilité La fonction comptable devrait disparaître entre 2041 et 2056, en raison du recours croissant à l’automatisation et aux logiciels avancés dans les processus comptables.
Secrétariat de bureau Cette profession a connu un déclin notable en France puisque le nombre de salariés est passé de 765 000 en 1986 à 560 000 en 2016. Ce métier devrait disparaître entre 2053 et 2072.
Caissiers et pigistes Ces emplois devraient disparaître entre 2050 et 2066, avec l’utilisation croissante d’appareils et de technologies automoteurs dans les opérations financières.
Entrepôts Bien que ce travail ait connu un déclin ces derniers temps, l’Institut Sabian s’attend à ce que les travailleurs dans ce domaine restent en activité jusqu’en 2091 en raison de la baisse des coûts d’automatisation.
Même si certains emplois ont disparu, l’étude indique que cela pourrait ouvrir la voie à de nouveaux emplois exigeant des compétences différentes, ce qui contribuerait à la création d’opportunités d’emploi dans d’autres domaines.