« Oujda : un Algérien et un Marocain arrêtés pour trafic de drogue par drone »

Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :

Heba Press – Ahmed Al-Musaed

Mardi 7 janvier, les caméras de surveillance des Forces armées royales marocaines ont pu repérer un drone susceptible d’avoir décollé quelque part dans la forêt de Karbous, dans la commune de Beni Khaled, territorialement affiliée à la préfecture d’Oujda Angad, qui a incité les forces armées à informer en réalité les services de sécurité de la Gendarmerie Royale (centre territorial de Beni Drar).

Des patrouilles de la Gendarmerie Royale, appuyées par des chiens dressés, se sont déplacées vers l’endroit suspect pour le ratisser. Après cela, les services de la Gendarmerie ont pu arrêter au moins deux personnes, dont une de nationalité algérienne, et elles étaient en possession de certains équipements. ont contribué au décollage de l’avion « drone » vers l’Algérie, tandis que deux autres personnes liées à l’incident se sont réfugiées en prenant la fuite.

Les deux suspects ont également reconnu, lors des investigations menées par la Gendarmerie Royale, qu’ils étaient responsables de ce drone chargé de drogue.

Vendredi 10 janvier, les deux prévenus ont comparu devant le procureur du Roi près l’école primaire d’Oujda pour trafic de stupéfiants, après que la garde à vue de l’un d’eux a été prolongée afin d’approfondir l’enquête, en attendant qu’un mandat de perquisition national soit lancé. sera délivré sous le contrôle du ministère public contre les deux autres personnes qui ont pris la fuite.

Il apparaît que les services de la Gendarmerie royale (le centre territorial de Beni Drar) et les forces de l’armée marocaine stationnées à la frontière maroco-algérienne au niveau de la communauté de Beni Khaled dans la préfecture d’Oujda Angad, se sont lancés dans des opérations d’évasion auprès des trafiquants de drogue après ils ont changé leurs plans et leur stratégie en matière de contrebande vers et depuis l’Algérie, en passant des méthodes traditionnelles à l’utilisation de technologies alternatives, comme l’utilisation de drones pour échapper à la surveillance, mais la vigilance de l’armée marocaine et de la Gendarmerie royale empêche le succès de leurs opérations.

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