Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press – Muhammad Zaruh
Le mercredi 19 février, la salle pénale d’appel chargée des affaires de terrorisme devant la Cour d’appel de Rabat a été témoin des chapitres d’une affaire pénale exceptionnelle, où cinq accusés, dont deux revenus de Syrie, ont été observés par le pouvoir judiciaire pour graves accusations qui, selon lesquelles Mélanger le terrorisme, l’enlèvement, la détention et le vol, dans un incident qui a secoué l’opinion publique, en particulier que tous les adeptes viennent de Tanger.
Les détails de l’affaire révèlent un enlèvement des défendeurs contre le baron des drogues internationales dans la ville de Nador à son retour de Belgique, où ils l’ont accusé de tergiverser le montant de cinquante mille euros de revenus de drogue.
Après avoir resserré les vis sur lui et se débarrasser de ses numéros de téléphone, ils ont décidé de mettre en œuvre leur plan en le kidnappant et en le détenant à l’intérieur d’une maison, puis ils ont saisi les clés de sa Mercedes de luxe et d’autres clés de maison qu’il possédait, où ils l’ont fouillé et volé une heure précieuse.
Les auteurs n’étaient pas satisfaits de cela, mais ont plutôt cherché à extraire les documents de voiture de luxe en essayant de faire tourner un employé de douane, dans l’espoir de les vendre à Nador et de récupérer le montant financier qui a fait l’objet d’un différend en Belgique. Cependant, leur tentative a échoué, de se retrouver face à des accusations supplémentaires liées à la falsification des documents officiels et à tenter de diffuser un fonctionnaire.
Et le juge enquêteur de la Cour d’appel de Rabat a estimé que les actions attribuées à l’accusé constituaient des crimes dangereux, notamment le vol décrit, la détention, la contrefaçon de documents et leur utilisation, ainsi que les pots-de-vin d’un fonctionnaire et entrant dans le Maroc et quittant Il est de manière illégale, qui sont des accusations qui ont été distribuées à chaque accusé en fonction de son rôle dans le crime.
Après un procès élémentaire qui s’est terminé par la condamnation de trois des accusés avec cinq ans de prison, la chambre d’appel a décidé de resserrer la peine pendant six ans, tandis que la Cour de cassation a établi la peine prescrite aux rapatriés de Syrie et les a condamnés et condamnés à huit ans de prison, étant donné que les peines délivrées contre eux sont proportionnelles à la gravité des crimes commis.
La surprise la plus importante de l’affaire a été le refus de la victime de venir à la Cour, que ce soit en tant que témoin ou en tant que parti civil, et il s’est abstenu de coopérer avec les dispositifs d’application de la loi, dans une tentative claire de se cacher en raison de ses activités suspectes. Cependant, sa disparition n’a pas duré longtemps, car il a été arrêté plus tard dans la ville de Tanger pour trafic de drogue, et il a été condamné à quatre ans de prison, ce qui a donné des dimensions supplémentaires de mystère et d’excitation.