Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press-Fez
Depuis qu’Abd Al -Salam Al -baqali a repris la présidence du groupe Fez en septembre 2021, la tension s’est intensifiée entre le groupe et la société de transport urbaine « City Bus », qui a exacerbé la crise des transports de la ville et expose des centaines de travailleurs à un sort inconnu.
Malgré les tentatives de trouver des compromis pour mettre fin à cette crise, Al -Baqali, reconnu coupable d’une décision judiciaire, a insisté pour prendre des décisions d’escalade, dont la plus récente a été l’annonce lors de la session du 6 février 2025 de la résiliation du contrat de mesure déléguée avec « City Bus ». Cette décision, que certains considèrent comme une victoire politique, jette une ombre lourde sur plus de 200 travailleurs qui se sont retrouvés sans salaire ni garantie pour leur avenir professionnel.
La question posée par l’opinion publique à Fès: quel est le sort de ces travailleurs qui n’ont pas reçu leur salaire pour janvier et février 2025? Et pourquoi le groupe, en tant qu’autorité déléguée, n’a-t-il pas lancé une solution unique qui préserve les droits des utilisateurs au lieu de les payer au spectre du chômage au cours du mois du Ramadan?
En l’absence d’une vision claire de la gestion du secteur des transports urbains à Fès, les craintes augmenteront que la crise se transforme en catastrophe sociale, ce qui nécessite une intervention urgente des autorités responsables avant que les choses ne soient hors de contrôle.