LA COLOMBIE ET LES EXCÈS DU polisario
Alors que la situation humanitaire dans les camps du polisario continue de se dégrader, notamment dans le contexte de la «contraction» de l’aide humanitaire, de nombreuses voix influentes en Amérique Latine ont commencé à presser la communauté internationale de prendre des mesures préventives contre les excès des dirigeants du polisario dont le Centre « CPLATAM », connu pour sa capacité à influencer la décision colombienne, relevant que « le totalitarisme et la domination totalitaire commencent à s’installer dans les camps ».
Selon le Centre d’analyse stratégique des questions politiques de la République colombienne, le totalitarisme et la tyrannie des camps de Tindouf « coexistent avec des coutumes et des traditions primitives qui méprisent et violent les libertés fondamentales et les Droits de l’Homme», le tout destiné à servir les intérêts et l’autorité du « polisario » et de sa structure.
Un certain nombre d’Organisations non gouvernementales en Amérique Latine avaient auparavant condamné les violations flagrantes des Droits de l’Homme commises par le polisario dans les camps de Tindouf: «Les habitants des tentes vivent dans une atmosphère de terreur imposée par le Front dans les camps de Tindouf.» Femmes sahraouies victimes de traitements inhumains, sont détenues et privées de leurs droits les plus élémentaires «
La Global Africa Latina Foundation, qui regroupe des acteurs culturels et académiques de nombreux pays d’Amérique Latine, des Organisations de Socipinda au Mexique, la Société Civile Urbaine du Mexique et l’Organisation des Droits de l’Homme d’Oaxaca, a souligné « la Résolution Marocaine d’Autonomie reste la solution adéquate crédible et juste pour régler le Conflit du Sahara, soulignant que c’est là « une autre preuve convaincante de l’absence de cette entité au sein de l’Organisation des Nations Unies »
