L’administration américaine a réussi à attirer des investissements de plus de 5.000 milliards de dollars durant les 100 premiers jours du second mandat du président Donald Trump, indique mardi un communiqué de la Maison Blanche.

Lancés ou promis par une cinquantaine de compagnies locales (Apple, Nvidia, IBM…) ou internationales (Hyundai, Stelantis, TSMC…), ainsi que par plusieurs fonds souverains, ces investissements permettront la création de plus de 450.000 emplois, relève la présidence américaine.

Ces investissements couvrent une large panoplie de secteurs allant de l’automobile à l’industrie pharmaceutique, en passant par la technologie, les infrastructures d’intelligence artificielle, l’énergie ou encore la logistique et le transport international, précise la même source.

Une note du Conseil économique national fait savoir, par ailleurs, qu’au moins 345.000 postes d’emploi ont été créés, dont 228.000 au seul mois de mars, depuis l’investiture du président Trump le 20 janvier dernier. Le Conseil économique fait également état d’une chute de prix oscillant entre 7% pour les produits énergétiques et 2% pour les médicaments, outre un recul de 1% dans les prix des biens de gros.

Globalement, le Conseil note que l’administration US a lancé un « effort audacieux impliquant plusieurs agences pour abroger les réglementations fédérales existantes qui ont contribué à la hausse du coût de la vie ».