Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Un certain nombre d’experts, aujourd’hui, lundi, lors d’un symposium national organisé à la Chambre des conseillers sur «le parlement marocain et la question du Sahara marocain: pour la diplomatie parallèle efficace et la plaidoirie institutionnelle efficace», les gains atteints dans le chemin de la question nationale grâce au mérité de la dipomacy marocaine a conduit par sa majorité roi du roi Mohammed.
Les experts ont souligné, lors d’une session de sujet sur « la question du Sahara marocain à travers la gestion des Nations Unies, les développements pertinents et les perspectives de la solution finale au dossier », dans le programme de la question du groupe objectif temporaire sur la question de l’intégrité territoriale du Royaume des pays et reconnaissance du Sahara marocain.
L’intervention a noté les rôles croissants des institutions nationales, du Parlement, des institutions nationales, des organismes de défense des droits de l’homme et une société civile dans la défense de la question nationale aux niveaux africain et international, que ce soit en déménageant au sein des organisations internationales ou par le biais de la diplomatie parlementaire.
Dans ce contexte, Idris al -Affair, sur le ministère des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, a souligné que les décisions diplomatiques souverains qui constituent une reconnaissance du désert marocain sont compatibles avec toutes les normes et pratiques diplomatiques, en particulier avec l’accord de Vienne de 1963, qui régit les relations consulaires.
Dans son intervention, M. Al -Affair a ajouté que le soutien clair au Sahara marocain est incarné au niveau réaliste, en détenant des comités conjoints entre le Maroc et un certain nombre de pays africains amicaux à la fois à El-Ayoun et à Dakhla, ainsi qu’à des visites exploratoires régulières effectuées par des délégations étrangères pour soutenir le développement des régions du Sud.
Il a déclaré que les Nations Unies doivent prendre en compte ces confessions concrètes dans le Sahara marocain, dans le contexte de son traitement de cette question, soulignant que cet important développement explique qu’il n’est pas possible de développer une solution à la question du Sahara marocain, sauf dans le contexte du respect de la souveraineté réelle du Maroc et de son intégrité territoriale complète.
Il a enregistré que le Maroc va de l’avant et avec un rythme constant sur la voie de la recherche d’une solution au problème dans le contexte du plein respect pour sa souveraineté territoriale.
Pour sa part, Al -Moussawi Al -ajlawi, chercheur au Centre africain et au Moyen-Orient pour les études, a abordé la voie historique que la question du Sahara marocain a été faite, que ce soit au niveau de la discussion au sein des Nations Unies ou au niveau des résolutions du Conseil de sécurité.
L’académique a souligné que l’initiative marocaine pour l’auto-gouvernement, que le Maroc a soumis pour régler ce dossier, est intégrée et entrée dans le cadre de la légitimité internationale.
À son tour, le chef de l’Observatoire international pour la paix, la démocratie et les droits de l’homme, Aisha al -Dweihi, a enregistré que le cours de la question marocaine du Sahara connaît des transformations décisives motivées par la maturité de l’initiative marocaine.
Dans ce contexte, elle a souligné que le Maroc est passé de la défense à l’initiative, en fournissant une solution réaliste conforme aux références internationales et en s’engageant dans une ingénierie dynamique proactive qui a réorganisé les priorités du fichier à l’échelle internationale.
D’un autre côté, Mme Al -Duwaihi a souligné que l’approche des droits de l’homme était un levier de base pour améliorer la présence du Maroc au sein des mécanismes des Nations Unies, notant que les rapports répétés des Nations Unies ont salué « l’interaction constructive du Maroc » et les efforts de développement du Sahara.
À son tour, l’analyste politique, Saeed Al-Tasmani, a déclaré que le Sahara marocain était devenu une attraction géo-économique grâce à des projets majeurs tels que le port atlantique de Dakhla, ainsi que par l’initiative de l’Atlantique et le Nigéria-Morocco du gazon.
M. Al -Tasmani a souligné la nécessité d’institutionnaliser le travail diplomatique parlementaire, en créant un groupe parlementaire permanent pour défendre le Sahara marocain, qui comprend diverses représentations politiques ainsi que des expériences juridiques et diplomatiques.
Il a enregistré que les organismes parlementaires continentaux et internationaux constituent des espaces stratégiques dans lesquels la présence marocaine devrait être élargie et orientée vers la prise de positions à l’appui de la proposition d’autonomie, afin d’améliorer la diplomatie parlementaire proactive.
(Avec)
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