DAOUD AOULAD SAYD DE RETOUR PLUS EXCEPTIONNEL AVEC SES EXPOSITIONS DE PHOTOGRAPHIE: LE MAROC D’OMBRE ET DE LUMIÈRE

L’ouverture des expositions de photographies « La Maroc de Daoud Aoulad-Syad » est un événement exceptionnel qui s’est déroulé le jeudi 17 janvier à 18h30 à la Fondation Sidi M’chiche El Alami « Maroc 1980- 2000 » à 19h30 dans la galerie de l’Institut Français de Kénitra « Ethnofolk » suivi de la projection du film « La mosquée », et le mardi 22 janvier à 18h30 à la galerie de la Délégation de la Culture de Kénitra en présence de l’artiste « Le Maroc d’ombre et de lumière » suivi de la projection du film « Les voix du désert ».

La Fondation M’Chiche El Alami accueille sur ces murs une exposition de plus de 50 photographies argentiques – pour la plupart mises à l’honneur durant la première Biennale de la photographie arabe en 2015, à la prestigieuse Maison Européenne de la Photographie à Paris.

Ces photographies choisies parmi les premiers travaux de l’auteur ont été réalisées dans les années 80 et 90. Elles marquent l’avènement de la photographie d’auteur dans l’histoire de la photographie marocaine.

Grâce au soutien de la Fondation, l’exposition DAOUD AOULAD SYAD, MAROC 1980—2000 est libre d’accès et ouverte au grand public de la ville

ETHNOFOLK est un ensemble inédit de portraits en noir et blanc des troupes folkloriques issues de l’ensemble du Royaume Marocain. De Tanger à Dakhla, d’Essaouira à Zagora, Beni Mellal ou encore Boujaad, Chaouen et Oujda.

Venus de toutes les Régions du Royaume, tous les ans pendant presque 60 ans, ces artistes, musiciens, chanteurs, chanteuses, danseurs et danseuses ont accepté, pour Daoud Aoulad-Syad de « prendre la pose ». Cet étonnant corpus aux allures de folklore prend une dimension indéniablement ethnographique.

LE MAROC, D’OMBRE ET DE LUMIÈRE présente un ensemble de photographies inédites en couleur réalisées au fil de son œuvre par Daoud Aoulad-Syad. Sorte d’éloge de l’ombre, Daoud joue de ce que la nature offre de plus précieux pour un photographe — la lumière — lors de ses errances sur les territoires qu’il est amené à parcourir, scènes de vies principalement rurales où fêtes de villages et marchés hebdomadaires.

On y retrouve ses sujets de prédilection : le forain, la marge, le Maroc ancestral, la campagne et le grand sud.

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