ALGÉRIE/ GAID SALAH VOULAIT EN FINIR AVANT LA PRÉSIDENTIELLE DE CE JEUDI : FIN DU FEUILLETON ET CONDAMNATION FINALE DES EX MINISTRES, AUTRES HOMMES D’AFFAIRES ET CONSORTS.

BABA- HIBAPRESS

En Algérie, Ca bouge et pour de bon avec autant de rapidité pour clore définitivement le dossier des ex ministres et autres hommes d’affaires emprisonnés à El Harrach, à l’approche furtive de l’élection présidentielle de jeudi prochain, pour que Gaid Salah puisse se positionner en leader incontesté d’une dictature observée et dont il tire amplement profit pour vouloir espérer luire son image de marque aux yeux du Peuple et vouloir se considérer comme l’un de leurs soi-disant défenseurs devant les «  ex oppresseurs et corrompus «  qu’on appelle communément « la Bande », qu’on vient de condamner lourdement, ne serait-ce que pour les faire « taire » et « enterrer » pour fort longtemps…Sauf si, dans cette perspective, le prochain président élu consentera à leur accorder la grace totale et tout est prévisible en Algérie ou on peut s’attendre à tout

Hier mardi matin 10 décembre donc, le Tribunal d’Alger a prononcé des peines lourdes dans le procès pour corruption et abus de pouvoir ouvert la semaine dernière à l’encontre des deux anciens Premiers ministres qui sont alors condamnés à de la prison ferme, dont quinze ans pour Ahmed Ouyahia, l’ancien Premier ministre, douze ans pour Abdelmalek Sellal son prédécesseur et trois ans pour son fils.

Et comme on veut bien achever tous les chevaux, deux anciens ministres de l’Industrie ont eu leur dose de prison avec dix ans de prison et trois hommes d’affaires, dont Ali Haddad l’ancien patron des patrons le « héros » du fameux « Forum Algérie-Afrique », sont eux condamnés à sept ans de prison ferme.

Ainsi, le compte est bon pour une fois avec les condamnations auparavant de Said Bouteflika et les deux anciens tout puissants chefs des Services de Renseignements Taoufiq et Tartag qui avaient écopés de 15 de prison ferme pour « atteinte à l’autorité de l’État ».

 

 

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