LE MAROC A, DU MOINS, SA VRAIE IDENTITÉ : SAVEZ-VOUS QUE L’ALGÉRIE DÉPENSE ENCORE ET TOUJOURS DES MILLIONS D’EUROS CHAQUE ANNÉE POUR FAIRE DIFFUSER SON HYMNE NATIONAL « KASSAMANE » A L’INTÉRIEUR COMME A L’EXTÉRIEUR DU PAYS, QUI EST À JAMAIS PROPRIÉTÉ PRIVÉE D’UNE SOCIÉTÉ FRANÇAISE ? QUELLE ALGÉRIE DONC SANS SON IDENTITÉ ?

BABA-HIBAPRESS/RABAT

L’Algérie a certes tenu son indépendance mais n’a pas pu tenir son identité ni son emblème national qui fait la fiérté de chaque Pays, chaque Nation, chaque Peuple

En effet d’après une émission, bien que datant de plusieurs mois, diffusée par la Chaine Al Magharibia opposée au régime algérien, cette dernière vient de lever le voile sur un sujet pertinent et dangereux à la fois, qui interesse au haut rang la dignité de l’Algérie

Aussi, d’après les témoignages rapportés par cette émission intitulée »Le tournant » consacrée entièrement au secret de l’hymne national algérien, il s’est finalement avéré que cet hymne de « Kassamane » algérien n’est pas proprièté entière de l’état algérien et que ce dernier est dans l’obligation totale de devoir payer des millions d’Euros à la France pour pouvoir le diffuser à chaque occasion propice tant à l’intérieur du pays pour chaque cérémonie officielle ou internationale , tout aussi bien à l’extérieur de l’Algérie, tout simplement parce qu’il est proprièté privé d’une société française qui détient jusqu’à aujourd’hui encore les droits de diffusion de cet hymne algérien de « Kassamane »

Il est donc clair que si l’Algérie a réussi son indépendance, il est clair aussi qu’elle encore sous « occupation française sur le plan de son hymne national », un hymne national conçu et écrit par Cheikh Moufdi Zakariah, un Mzab Amazigh de la ville de Ghardaya une ville qui a toujours était marginalisée, humiliée et vivant la pure et dure « Hogra » et est mort, malheureusement pour lui, en exil en Tunisie en 1979, tout comme le concepteur et réalisateur du drapeau vert-blanc- croissant et étoile rouges Feu Messal l’Haj Larbi et sa femme française Emilie Buscan, et dont le nom fut banni par Boumedienne et tous les présidents qui vont venir après, jusqu’à Tebboune qui n’est pas encore arriver à « acheter » l’hymne national algérien des mains de la société française qui détient toujours ses droits de diffusion. Rappelons aussi que la mélodie ou la composition musicale de cet hymne, de plus,  ne sont pas aussi algériennes mais c’est un égyptien qui s’en était occupé

L’Algérie qui vit à jamais de l’Extérieur jusqu’à la moelle épinière , jusqu’à même son identité, restera ainsi livré à autrui et s’entêtera toujours à ne porter son attention que vers le Maroc pour vouloir le combattre sur tous les plans au lieux d’aller chercher le bien être d’elle-même et ensuite celui de son peuple qui croupisse dans la misère, l’improvisation, le désordre, un avenir incertain et une vie qui n’a aucun but précis

 

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