NOUREDDINE KHELASSI, JOURNALISTE, CONSEILLER DU MINISTRE DE LA COMMUNICATION ET PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT ALGÉRIEN PART EN GUERRE CONTRE LE MAROC

HIBAPRESS-RABAT+AGENCES

Après le président Tebboune, le général de corps d’armée Chengriha et d’autres hauts responsables algériens toutes tendances confondues qui en veulent au Maroc très ouvertement, voilà qu’un autre qui se dit journaliste et est conseiller du ministre de la communication et porte-parole du gouvernement algérien qui part en guerre contre le Maroc comme le lui avait enseigné l’autre Marocophobe ex ministre des A/E Ramtane Laàmamra

Donc, Noureddine Khelassi, journaliste et  conseiller du ministre de la communication, porte-parole du gouvernement algérien, rappelle dans une de ses contributions la pertinente formule de l’ancien ministre des Affaires Etrangère Ramtane Lamamra : « Les relations avec le Maroc sont anormales, même si les relations entre les deux peuples sont exemplaires ».

Khelassi explique cette « anormalité «  par l’existence de deux pommes de discorde à savoir, le Sahara et la frontière terrestre hermétiquement fermée.

Khelassi part conquérant et se positionne sur le dossier du sahara : « n’en déplaise toujours au voisin marocain, la position de l’Algérie est en parfaite harmonie avec la légitimité internationale ».

Contradiction oblige, Khelassi court lui aussi derrière les mêmes notions que lui ont inculquées les locataires du palais El Mouradia  et insiste que « les autorités algériennes successives ont souvent invité le Maroc à dissocier les problèmes bilatéraux de la question du Sahara qui est de la responsabilité de l’ONU ».

Khelassi va plus loin pour défendre ses parrains civiles mais aussi du clan militaire des généraux qui voient en le Maroc un pays qui leur porte du tort évoquant leur éternel leit-motiv: « le Maroc pays de la drogue »

Toujours est-il Khelassi estime que « pour l’instant, l’ouverture de la frontière est plus un souhait ardent marocain qu’algérien. Rabat déclare vouloir ouvrir la frontière, tout en construisant des murs le long de la frontière et prétend fallacieusement se heurter au refus des autorités algériennes. Ces dernières sont pourtant catégoriques: elles n’ouvriront pas la frontière tant que les points en litige ne seront pas éclaircis à la faveur d’un dialogue serein et déconnecté du problème du Sahara », conclut-il.

 

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