HIER APRÈS LA VICTOIRE DE SEVILLE EN COUPE D’EUROPE, MUNIR EL HADDADI ARBORA LE DRAPEAU AMAZIGH AU LIEU DE CELUI DU ROYAUME DU MAROC : RANCUNIER OU ÉGOÏSTE?

BABA- HIBAPRESS/RABAT

Le FC Seville vient de remporter sa sixième Coupe d’Europe en six participations, ce qui est vraiment un exploit extraordinaire, pour un club Andalou ou évoluent cette saison trois Marocains : le gardien Bono, Enneciry et Munir

Cette composante reflète parfaitement la qualité intrinsèque du joueur Marocain sur la scène espagnole depuis Feu Haj Larbi Ben M’Barek, la Perle Noire, passant par Antaki, Naim, Naybet,Hakimi et d’autres …Qui ont marqué de leurs empreintes la Coupe d’Europe sous les couleurs de clubs espagnols

Aujourd’hui comme Marocains, on a été très fiers que trois des Nôtres soient consacrés champions d’Europe et sont à féliciter mais ce qui a beaucoup touché plus d’un est cette attitude incompréhensible de Munir El Haddadi qui a préféré, en fin de rencontre et pour fêter la victoire de Seville, porter le Drapeau Amazigh au lieu de celui du Maroc, puisqu’il reste tout de même Un Marocain bien que naturalisé espagnol et ait joué une toute petite sélection pour la Roja sous les ordres de Del Bosque sous contrainte qu’il ne perde sa place de titulaire incontesté auprès du Barça et qu’une fois rejeté par les espagnols, il allait rejoindre les Lions de l’Atlas pour la Coupe du Monde 2018 en Russie si ce n’était le refus catégorique du TAS

En plus d’avoir enfiler le Drapeau Amazigh, Munir a été très égoïste envers ses compagnons Marocains qu’ il a tout le temps évité et n’a approché Bono qu’en un laps de temps style protocolaire et plus rien tout au long de la fin du match et la fête du triomphe jus’après la joie du sacre et tout le temps passé sur la pelouse

Une attitude qui ne peut, en aucun cas, être admise ni pardonnée car, quoi qu’il en soit, les trois joueurs ont tous un Sang Marocain dans les veines, que Munir le sache avant tout un autre.

Qu’il le veille ou non, Tétouan est une ville Marocaine qui a vu la naissance, la jeunesse et le lieu de résidence de son père avant qu’il ne prenne la voie du « Hrig » pour l’Espagne ou Munir a vu le jour à El Escorial le 1ER septembre 1995

Aujourd’hui, s’il veut qu’il soit Amazigh c’est son affaire et personne ne peut le lui en vouloir mais il aurait du moins eu un petit respect pour le Pays qui a vu la naissance de toute sa famille : le Royaume du Maroc et ç’aurait été là une immense occasion unique de se réconcilier avec le public Marocain qui ne lui a jamais pardonné, d’ailleurs, d’avoir choisis de porter les couleurs de la Roja rien que pour espérer rester au Barça, qui l’a finalement lâché comme un simple papier « kleenex » et dont il a eu, après, un grand remord et un terrible regret de ne pas avoir choisi de porter les Couleurs des Lions de l’Atlas

Hier donc, il avait l’opportunité évidente de s’approcher plus du public Marocain, peut-être qu’il l’a réussi du coté des Rifains mais pas de tous les Marocains Amazighs ou Arabes. Dommage

 

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