DANS SON RAPPORT AU C/S DE L’ONU, GUTERRES : » LE polisario N’A PAS DE REPRÉSENTANT À L’ONU EXCLUSIVEMENT COMPOSÉE D’ ÉTATS MEMBRES SOUVERAINS »

HIBAPRESS-RABAT-AGENCES

Encore une fois de plus, le S/G de l’ONU remet le polisario devant le fait accompli en ne lui accordant aucune possibilité de s’octroyer une « représentativité » quelconque sous les couleurs de l’ONU tout simplement il n’est pas membre souverain et donc logiquement exclu des couloirs et bureaux de l’ONU

Le polisario, qui dispose de certaines facilités que lui procure son parrain l’Algérie pour que certains de ces adeptes se faufilent dans l’enceinte de l’ONU et s’y photographient avec les employés et autres membres des états qui sont dans leur jargon, se targue parfois qu’il est dans l’ONU ou il se sent bien alors qu’il ne l’est guère puisque Guterres vient encore une fois de plus de le remettre à sa vraie place n’étant en principe pour tout le monde sauf l’Algérie et l’Afrique du Sud qu’une entité terroriste et plein de mercenaires

Le polisario qui voulait se mettre en évidence n’a finalement récolté que nulleté et amertume puisque dans son dernier rapport au Conseil de sécurité, le Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a mis à nu l’usurpation de statut et de fonction, ainsi que le faux et usage de faux, de la part d’un membre du groupe armé séparatiste du “polisario”, qui s’autoproclame fallacieusement “représentant à l’ONU”.

Ainsi, dans son rapport au Conseil de Sécurité, M. Guterres se réfère, dans deux paragraphes distincts, à ce séparatiste notoire en tant que simple “représentant du polisario à New York” et nullement “représentant auprès des Nations Unies”.

Ce n’est pas la première fois que le chef de l’ONU renvoie ce mercenaire à son véritable statut de simple résident dans la ville de New York. En effet, la même référence en tant que “représentant du polisario à New York” se retrouve dans les précédents rapports du Secrétaire général au Conseil de Sécurité des Nations Unies.

Ces références du chef de l’ONU démontrent clairement que ni le «polisario», ni ses «représentants» ne jouissent d’un quelconque statut auprès de l’Organisation des Nations-Unies, et encore moins d’une représentation auprès de l’Organisation internationale, composée exclusivement d’Etats Membres Souverains.

Après Genève, Rome et Bruxelles, voici le polisario épinglé à New-York

Le Maroc a constamment dévoilé et dénoncé les manœuvres fallacieuses d’usurpation de statut et de fonction du “polisario” et de ses membres, à travers des lettres et démarches auprès du Secrétaire général de l’ONU et des membres du Conseil de Sécurité.

 

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