Catastrophe mondiale: Nous tuons la base même de notre chaîne: Les Insectes

HIBAPRESSè-RABAT-ETUDES

C’est la triste conclusion d’une étude récente dont personne ne parle.

La protection de la faune et plus particulièrement des insectes ne semble pas préoccuper les intéressés et c’est simplement aberrant.

Les insectes sont la base de la chaîne alimentaire de milliers d’espèces animales et de l’homme par là-même occasion et on semble complètement l’oublier, alors qu’eux aussi nous font vivre.

Certes, on peut les considérer comme nuisibles, mais ils sont aussi essentiels à notre survie

Aujourd’hui, 56% des évaluations sont dans un état défavorable et 11% dans un état inconnu. Voilà ce que vivent les insectes dans nos forêts, nos prairies, nos campagnes.

Toutes les régions du monde sont touchées et il faut impérativement donner l’alarme avant que la situation d’empirer, au moment ou plus de 40% des espèces d’insectes sont menacées d’extinction .
Là encore, c’est le résultat d’une étude réalisée à l’échelle mondiale : 40%, c’est considérable et ça ne va pas aller en s’améliorant. Où allons-nous ?

Bientôt, nos enfants se promèneront dans des forêts silencieuses, dénuées de toute vie.

Papillons, coléoptères, libellules ou encore sauterelles : ce sont des insectes que nous connaissons depuis toujours et que nos enfants ne connaîtront peut-être pas !! Bientôt, ils ne seront qu’un lointain souvenir que l’on racontera.

N’oublions pas que tout est lié : climat – pesticides – extinction d’animaux…!

L’agriculture intensive : la cause principale de ce déclin
L’agrandissement des surfaces agricoles signe tout simplement l’arrêt de mort des insectes sur nos territoires : produire toujours plus vite, toujours plus fort nous mène tout droit à la catastrophe !!

Ne parlons même pas des produits chimiques et pesticides utilisés à gogo sans considération pour la faune (et la flore) détruite au passage.

Nous utilisons des pesticides pour produire plus de nourriture alors que nous tuons la base même de notre chaîne alimentaire

Nous devons réagir, maintenant, avant que les 40% ne deviennent 50%, puis 60%…et 100%.

 

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