AFRIQUE DU SUD : Mais où sont les partis politiques Marocains ???

L’Afrique du Sud à de nouveau montré une hostilité amère à l’égard du Maroc après que le Congrès national africain (ANC) a réaffirmé son soutien au Front séparatiste du Polisario et a déclaré qu’il intensifierait sa campagne de soutien aux dirigeants du camps de Raboni à Tindouf.

Le communiqué final du parti au pouvoir en Afrique du Sud « ANC » comprend des données de sophismes sur l’intégrité territoriale du Maroc, et appelle le gouvernement sud-africain à prendre des mesures sans précédent, donc la nomination d’un envoyé spécial au Sahara marocain, rappelant ce qu’il considérait comme fraternel des liens historiques entre le Parti de Nelson Mandela et les pseudo dirigeants séparatiste.

Les dirigeants Sud Africains, ont dénoncé l’organisation de notre pays d’un séminaire regroupant les plusieurs mouvements de libération du continent noir, s’invitant de la sorte dans les affaires intérieures du Royaume. Un séminaire organisé dernièrement sous le thème « Le soutien du Maroc aux mouvements de libération africains », auquel ont participé des pays, tels que l’Afrique du Sud, le Mozambique, l’Angola, la Guinée-Bissau, et le Cap-Vert, un séminaire organisé par le haut-commissariat pour les anciens combattants et l’Armée de libération, dans la capitale Rabat pour tenter de faire revivre l’histoire et de publier des documents et certificats, afin de rappeler aux dirigeants apparemment inconscients le soutien précieux du Maroc aux mouvements de la libération nationale des pays africains, en autres, le soutien inconditionnel au mouvement de libération algérienne.

La position du parti au pouvoir en Afrique du Sud bien que n’étant pas surprenant sur la question du Sahara marocain, traduit une position traditionnelle en Afrique du Sud, mais interpelle les partis marocains de tout cela …

Bien qu’au moment où, la diplomatique officielle sous la direction du roi Mohammed VI à travers ses tournées sur le continent africain, réalise de nombreux gains, l’on constate malheureusement, l’échec des partis politiques à emprunter le pas dans le cadre d’une diplomatie parallèle, et de participer à sceller des relations étroites avec leurs homologues du continent noir, de revoir son travail diplomatique, sans se polariser seulement sur les problèmes internes.

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