Pékin autorise les premiers taxis sans conducteur

Hibapress

Pékin vient d’autoriser l’usage commercial des premiers taxis sans conducteur, dont la réservation se fait via smartphone à l’aide d’une application.

Au total, 67 taxis blancs, équipés de capteurs sur le toit et ne pouvant transporter que deux passagers à la fois, sont entrés en service à Yizhuang, dans la banlieue sud de la capitale chinoise, après le feu vert accordé, jeudi, au géant chinois de l’internet Baidu et à la start-up Pony.ai, qui compte comme actionnaire le constructeur Toyota.

Une personne est toujours assise à l’avant et prête prendre les commandes en cas d’imprévu. L’autonomie complète nécessite encore des années, en raison d’obstacles techniques et juridiques considérables.

Relativement à l’usage, les passagers indiquent à travers une application sur leurs smartphones le trajet qu’ils désirent effectuer, pour être récupérés ensuite par un véhicule truffé d’électronique et surmonté d’un radar tournoyant, à un prix équivalent à 2 yuans environ, contre 38 yuans environ pour un taxi classique.

Ces voitures portent le nom +Apollo Go+ et peuvent être récupérées et acheminés depuis ou vers 600 points fixes.

Outre Baidu, AutoX, soutenu par le champion chinois du e-commerce Alibaba, et Didi (équivalent de Uber en Chine) testent également des « robotaxis » dans plusieurs villes de chinoises.

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