AGADIR/ FERMETURE DES DISCOTHÈQUES : LE « CHAOS »
HIBAPRESS-RABAT
Le secteur des discothèques à Agadir vit de l’impact de certains abus principalement liés aux heures de fermeture, comme à l’époque où les autorités compétentes fixaient cinq heures du matin comme heure de fermeture, le non-respect de celle-ci entraîne des sanctions, mais certains de ces espaces restent ouverts au-delà du délai légal.
Des voix touchées par cette situation ont exprimé leur mécontentement face à la « discrimination dans l’application de la loi », certains étant contraints de respecter strictement les dates de clôture, tandis que d’autres sont autorisés à contourner cela, ce qui « perturbe le principe de concurrence loyale ».
Les mêmes voix ont exigé que les autorités chargées de surveiller les heures d’ouverture et de fermeture des portes de ces espaces « confrontent cet aléa dans lequel vit le secteur à Agadir » et « imposent la loi à tous sans discrimination ».
Il est à noter que l’une des répercussions de la poursuite de certaines de ces institutions dans la prestation de leurs services au-delà du délai imparti est le déclenchement de querelles et d’altercations continues dans leurs espaces, qui ont fait l’objet de vidéos qui se sont propagées sur les sites de réseaux sociaux comme une traînée de poudre, ce qui nuit au secteur et à la réputation de la ville.
