Les « Capéranats » et le « Nœud de la carte du Maroc

 

Le principe fondamental des relations internationales exige le respect de la souveraineté des États, impliquant de ne pas intervenir dans leurs affaires internes. Cependant, selon certains analystes, ce principe n’a pas trouvé sa place chez les « Capéranats », qui n’ont jamais cessé de s’attaquer à la stabilité et à l’unité territoriale du Maroc. Ils ont même déclaré ouvertement qu’ils étaient un acteur principal dans le conflit artificiel sur la marocanité du Sahara, après avoir longtemps agi en coulisses.

Il est de plus en plus évident chaque jour que les dirigeants algériens, les « Capéranats », sont fortement impliqués dans ce conflit artificiel. Ils ont créé une entité fictive et lui ont accordé une légitimité, se tenant derrière elle diplomatiquement, militairement et financièrement pour promouvoir leurs agendas visant à « voler » une partie du territoire marocain afin d’isoler le Maroc de son ancrage africain et de le coincer entre l’Atlantique et la Méditerranée, et ainsi l’assujettir. Cette politique « capéranate » n’est plus un secret pour personne. Elle est devenue une politique claire et évidente après avoir été menée en coulisses sous divers noms tels que « neutralité » et « position équidistante entre les parties au conflit », et d’autres termes fabriqués. Avec le temps, les intentions de ceux qui les ont orchestrées ont été révélées. Ils ont dépensé sans compter les revenus du pétrole et du gaz, laissant le peuple dans de longues et ennuyeuses files d’attente, attendant un peu de lait ou un sac de lentilles et de pois chiches… Oui, les intentions ont été révélées, et le cynisme des « Capéranats » a atteint des niveaux désespérés avec des tentatives pathétiques de « cacher la carte du Maroc » pour obscurcir les faits et « distraire » le peuple algérien des problèmes réels auxquels le pays est confronté sur les plans économique, social et politique.

Le jeu des « Capéranats » est devenu clair, usé et une méthode primitive dépassée. Il s’agit d’un complot contre les peuples du Maghreb. Cette scène cinématographique représentée par la « suspension d’une équipe de football » et l’interdiction à ses joueurs de porter leurs maillots n’est rien d’autre qu’une réaction qui expose de manière tangible l’incapacité des dirigeants algériens à rester neutres dans le conflit artificiel, laissant ainsi la question suivante : « L’Algérie a-t-elle perdu sa qualité d’État à l’ère des Capéranats ? » C’est ce que le peuple algérien doit prendre en compte et réfléchir.

Les « Capéranats » et le « Nœud de la carte du Maroc » sont deux équations interdépendantes qui exigent une réflexion approfondie, une analyse et une évaluation de « l’authenticité des dirigeants du voisin et de leur capacité à gérer les affaires du pays » et s’ils possèdent réellement les compétences et les conditions nécessaires pour gouverner, ou s’ils sont des « vieux chefs avec une mentalité coloniale et une haine profonde » qui pratiquent une politique de diversion des peuples et d’incitation aux conflits dans le but de s’emparer du pouvoir et donc du contrôle des richesses du pays au lieu de les partager avec leur peuple qui souffre de la « pauvreté dans un pays gazier ».

Le « Nœud de la carte du Maroc » n’est pas resté au niveau des maillots de l’équipe Renaissance Berkane, mais est devenu une récurrence chez les « Capéranats », prenant de l’ampleur après la décision de l’équipe nationale de handball algérienne de moins de dix-sept ans de se retirer du Championnat arabe organisé au Maroc. Est-ce que la carte du Maroc est devenue si dérangeante pour les Capéranats ?

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