Les leçons de la NBA-BAL: la discipline

BABA-HIBAPRESS-RABAT

La NBA-BAL est venue s’installer à Rabat, actuellement la capitale du basket-ball africain des clubs du 5 au 13 avril courant dans le cadre de la première escale de la Ligue Africaine de Basket-ball 2025. (5e édition du BAL), dont les événements se déroulent à  la Salle Couverte du Complexe Sportif Prince Moulay Abdallah, une occasion, la première Conférence au programme, celle du Kalahari, à laquelle participent quatre clubs: FUS de Rabat, Al Ittihad d’Alexandrie, Stade Malien et Rivers Hoopers du Nigéria.Chaque équipe affrontera les trois autres à deux reprises.

Ce grand Tournoi de grande envergure n’est pas moindre et demande en perspective autant d’efforts, de sacrifices mais aussi une intelligence à mieux gérer à la perfection des opportunités qui peuvent être encrées de plusieurs obstacles humains soient-ils ou matériels

Dans ce cadre, on a été très émus de voir ou on a pu mener à bon escient les préparatifs lorsqu’on touche notamment à la discipline incontestée qui a été instaurée et qui, avouons-le, nous a surpris à plus d’un titre au vue du vécu Marocains et ses aléas qui ne se mesurent absolument pas avec l’esprit américain des responsables de cette NBA-BAL

En effet, les responsables de ce Tournoi sont pointilleux sur le moindre sujet à débattre ou à vivre en clair, sachant au vol que sans cette discipline, tout pourrait driver vers l’aléatoire ce qui aurait des répercussions néfaste pour le devenir de cet événement et c’est en prenant correctement et droitement les rênes de l’organisation qu’ils ont pu se donner une certaine crédibilité qui pourrait servir de leçons pour nous autres

Ceci dit, on a certes « souffert » avec cette discipline imposée ici et là à travers l’obtention des badges, les entrées et sorties, la régularisation intérieure et extérieure  des lieux…néanmoins on a compris et appris que nous devrions changer nos méthodes à l’orée surtout de l’organisation par le Maroc à la fois de la CAN 2025 et la Coupe du Monde 2030. Qu’on se le dise!

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