DEMAIN DERNIER DÉLAI DE DÉPÔT DE CANDIDATURE POUR UN 3 ème MANDAT POUR KABILA. TRUMP: » KABILA DOIT PARTIR, SINON… »

La Démocratie ne peut plus venir des USA, dont la Statue de la Liberté assume la responsabilité exacte de son parchemin mais il s’avère que le nouveau président américain est loin de répondre aux exigences de la Liberté, encore moins de la Démocratie dans le monde, lorsqu’il impose son diktat pour assurer la bonne marche de l’économie américaine.

Dans ce registre, Trump vient de lancer un ultimatum qui prendra fin demain à Joseph Kabila , le sommant de ne point se présenter aux élections dont la date limite de déposition de candidature est pour demain. Ainsi si Kabila  se présente  pour un  troisième mandat dont il n’a plus droit ayant conclu ses deux qui lui reviennent de droit, il sera donc sanctionné.

Un ordre est un ordre s’il émane d’un président de la trempe d’un Trump, qui ne soucie absolument de personne même de la plus haute Instance mondiale car, c’est son intérêt et son seul intérêt qui compte, toute autre chose n’est que bavardage pour lui. Certes c’est justice et juste pour créer une nouvelle Démocratie mais on serait tenté de dire que le prochain président ne pourrait être qu’un président choisis sur mesure par l’Administration américaine et ses alliés la France et la Grande Bretagne car il y va de leur avenir économique.

Peut-on, d’autre part, appeler cela : ingérence dans les affaires intérieures d’un autre pays ? Toujours est-il, l’administration Trump est prête à imposer de nouvelles sanctions contre le régime du président de la République Démocratique du Congo, Joseph Kabila, pour le dissuader de tenter de se maintenir au pouvoir, selon plusieurs personnes informées à ce sujet.

Après deux mandats, M. Kabila est constitutionnellement obligé de quitter le vaste pays africain riche en minéraux, mais il n’a pas exclu de se faire réélire cette année malgré les appels répétés des États-Unis, de la France et de la Grande-Bretagne. La spéculation est grande qu’il va mettre son nom sur le bulletin de vote cette semaine.

“Les Etats-Unis tentent de convaincre Kabila de partir d’ici le 8 août”, a déclaré l’un des interlocuteurs, faisant référence à la date limite pour que les politiciens déclarent leur candidature à la présidence. “Ils essaient de serrer sa famille et ses finances.”

Une source du gouvernement américain a déclaré que Washington était prêt à sanctionner d’autres alliés de M. Kabila s’il ne respectait pas ses engagements. “Clairement, cela signifie avoir un processus par lequel Kabila n’est pas un candidat”, a déclaré la personne. “Son nom ne devrait pas figurer sur le bulletin de vote.”

  1. Kabila, 47 ans, a pris la présidence en 2001 après l’assassinat de son père Laurent-Désiré Kabila lors d’une guerre civile. Malgré ses richesses minérales, qui comprennent des diamants, du cuivre et de l’or, le pays se classe parmi les plus pauvres d’Afrique.

L’administration Trump a cumulativement augmenté la sévérité et la portée de ses sanctions contre M. Kabila. En juin 2017, le Trésor américain a imposé des sanctions à l’un des plus hauts responsables militaires de M. Kabila. En décembre, le même département a imposé des sanctions à Dan Gertler, homme d’affaires israélien et ami proche du président.

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