PRIVÉS DE LA FINALE DE LA COUPE CAF PAR LA RSB : LES TUNISIENS DE SFAX TABASSENT L’ARBITRE ET DÉTRUISENT LES VESTIAIRES DU STADE MUNICIPAL DE BERKANE.

BABA-Hibapress

Les tunisiens du Club Sportif Sfax n’ont pas gobé leur sévère défaite à Berkane hier face à la RSB pour le compte des ½ Finales de la Coupe CAF, défaits 3-0 par un « Remontada » sur le score de l’aller à Tayeb Mhiri 2-0, pour s’en prendre sauvagement à l’arbitre sénégalais Majity N’Diaye, le tabassant d’une manière violente, et dépassant ainsi toutes les normes de l’éthique sportive internationale

Les tunisiens , qui avaient sous-estimé les Berkanais, comptant apparemment sur leur large avance de Sfax par deux buts d’écart, voyaient déjà la finale leur sourire ne croyant jamais que les berkanais pouvaient revenir à la marque et pouvoir meme se qualifier par la différence de buts.

Les tunisiens du Sfax, malmené et largement dominés par la RSB, ne trouvaient leur désespoir que d’aller attaquer l’arbitre central de la rencontre en fin de partie pour vouloir créer un nouveau scénario comme ils en ont l’habitude de faire monter pour espérer cacher leur lourd revers et vouloir ainsi mettre les responsables Marocains devant un fait dont ils sont totalement innocents !

Il n’y a pas si longtemps encore, le Taraji l’avait fait devant Al Ahly, l’Etoile Sahel a récidivé hier face au Zamalek qui l’a contraint à quitter les ½ Finales de la Ligue des Champions et e Sfax de détruire les vestiaires du Stade Municipal de Berkane

Les tunisiens passent par des moments difficiles et trouvent ce moyens de la casse, d’abattre les arbitres et créer la « Fawda » pour masquer leurs incompétences footballistiques , leur politique non réussie dans ce domaine et l’improvisation cruelle dans laquelle vit leur football

Il serait temps que la CAF sévit farouchement contre les tunisiens qui monopolisent toutes les Commissions de la CAF. N’empêche, ils doivent être lourdement sanctionnés sinon ce sera de l’anarchie au sein de la CAF et ce célèbre « deux poids, deux mesure » qu’on n’a jamais aimé qu’il en soit

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