SOMMET DE LA CEDEAO : FERVENT HOMMAGE AU MAROC. L’ALGÉRIE, NON INVITÉ , CONSIDÉRÉE PRINCIPALE MENTOR DES TERRORISTES DU SAHEL PAR BIAIS DU polisario ET AQMI

L’Algérie encore une fois de plus épinglé par les pays africains qui n’ont plus confiance en ce pays considéré comme un grand « vendeur de rêves », enfouie dans l’improvisation et manquant d’un véritable réalisme. Les pays africains ont vite compris que l’Algérie est source de maux en se situant comme repère incontournable pour les terroristes qu’elle a fait éclore chez elle comme Aqmi et les milices mercenaires du polisario

Aussi, pour ne plus compter sur les « bons soins » de l’Algérie, la dernière conférence de la CEDAO n’a pas jugé utile d’inviter l’Algérie qui semble désormais inscrite dans la liste noire de la quasi-totalité des pays africains sauf une petite poignée qui lui voue affection du Groupe de l’Afrique du Sud, qui elle aussi se noie dans la chaos social et inter-continental par sa xénophobie envers les pays africains dont le plus atteint son ex ami de toujours le Nigéria, qui vient de rappeler son Ambassadeur pour la circonstance. Meme sort de détresse, de déboires et de situations critiques pour l’Algérie autant pour l’Afrique du Sud

Aujourd’hui à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, a abrité, les 13 et 14 septembre dernier, un Sommet Extraordinaire de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) avec pour thématique centrale : la lutte contre le terrorisme et avenir incertain du G5-Sahel.

Outre les 15 pays membres de la CEDEAO, le Sommet a connu la participation de plusieurs organisations et pays partenaires dans la lutte contre le terrorisme dans la Région dont celui, si précieux, du Maroc.

La participation à ce Sommet du Maroc, suite à l’invitation adressée au Roi Mohammed VI par le Président en Exercice de la CEDEAO, Mohamadou Issoufou, Président du Niger, témoigne du rôle du Maroc en tant que partenaire de premier plan pour cette Organisation Régionale et les autres Institutions dédiées à la lutte contre le terrorisme et l’insécurité.

Elle constitue une reconnaissance de l’appui conséquent et décisif du Maroc dans le combat contre ces menaces puisque ce Sommet Extraordinaire a été l’occasion de se concerter sur l’état de la coopération anti-terroriste dans la Région et les voies et moyens de la renforcer.

La participation du Maroc à ce Sommet a permis d’apporter des stratégies innovantes contre le terrorisme mais aussi les moyens de s’adapter à ce défi et ce, au moment même où la menace se précise pour les pays du littoral africain jusque-là épargnés par les frappes de la nébuleuse.

Lors de ce Sommet, les Chefs d’Etat ont décidé de mettre fin au G5-Sahel, cette force multinationale qui devait comprendre 5.000 hommes, en raison des limites de ladite force et ont tenté de trouver des solutions à l’avancée de ces loups solitaires au Sahel.

Il est clair, aujourd’hui, que la MINUSMA (Mission Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation pour le Mali, 13.000 hommes) et le G5-Sahel ne suffisent pas et qu’il est urgent de trouver des moyens de coordination plus élargis et plus efficaces.

Chercheurs, responsables politiques, ONG’s et même soldats s’accordent sur une chose : La solution ne peut pas être que militaire.

 

Ce Sommet extraordinaire de Ouagadougou consacre la nécessité, au-delà des simples discours, de mutualiser les forces pour agir en synergie contre cette pieuvre qui profite de la porosité des frontières mais aussi du manque de concertation et de la faiblesse du renseignement entre ces Etats, pour étendre ses tentacules et répandre son venin.

Quant à l’absence de l’Algérie, même en qualité de simple invitée, elle s’explique tout simplement par le fait que ses dirigeants sont les principaux mentors de ces terroristes auxquels ils offrent abris, armes, pitance et hommes, notamment polisariens et algériens, pour déstabiliser ces pays afin de les mettre sous sa seule coupe.

C’est pourquoi le glas semble sonner pour ces dirigeants algériens, dont le plus haï du Peuple algérien Ahmed Gaïd Salah et Bensalah, qui ont dilapidé plus de 1 000 milliards de dollars en moins de 20 ans, appauvrissant ainsi le peuple algérien.

Un peuple, il faut le reconnaître, qui se morfondait dans des avantages éphémères et se prenait pour le meilleur des peuples africains, guidé par les mensonges de leurs dirigeants et ce, depuis 1962.

Triste réalité, pour eux, algériens !Farid Mnebhi

 

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