FRANCE : Redouane Akdim prônait les thèses salafistes.

Dans le quartier populaire du sud-est de Carcassonne (Aude) qu’habitait depuis son enfance Redouane Lakdim avec ses parents et ses sœurs, dont il était proche. Du coté des habitants de ce quartier, il ne passait pas inaperçu avec sa barbe très fournie, mais et surtout avec un petit gentil pour les autres.

le jeune homme, retranché dans le supermarché d’une commune voisine, vient d’être abattu par les policiers  après une prise d’otages qui s’est soldée par la tuerie de personnes dont un policier.

Redouane  avait la cote auprès de ses copains, et une voisine, qui connaît très bien la famille, le décrit comme quelqu’un de calme,de sympathique envers tous le monde.  Les parents sont des gens très simples, poursuit la voisine.

Le jeune homme, né au Maroc il y a 25 ans, n’avait pourtant pas une vie si rangée que cela. Lakdim était un petit délinquant. En mars 2015, il avait été condamné à un mois d’emprisonnement pour usage de stupéfiants et refus d’obtempérer. Cette peine, il l’avait effectuée en août 2016, à la prison de Carcassonne. Dès 2011, il avait été rattrapé une première fois par la justice pour « port d’arme prohibée ».

Redouane Lakdim, s’est fait repérer par son activisme sur les réseaux sociaux, où il prônait le respect de l’Islam pur et dur, s’appuyant sur les thèses salafistes, ce qui le met facilement sur fichier des policiers, mais et surtout le suivi de ses déplacements à l’étranger notamment.

Le jeune Redouane avait contacté sa maman lors de son opération dans la supérette, avant de crier Allah Akbar.

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