Le poison du scorpion tue une fille avec un zodiaque… et des voix appellent à intensifier les campagnes de sensibilisation

Muhammad Manfaluti_Heba Press

Heba Press a appris de ses sources qu’une petite fille, âgée de moins de cinq ans, est décédée aux urgences de l’hôpital régional Hassan II de Settat, après avoir été piquée par un scorpion dans l’un des cercles de la capitale Beni Miskin, au sud de la ville de Settat.

La victime avait préalablement été transférée au centre de santé urbain de la ville d’Al-Buruj et de là à l’hôpital de Settat, avant de mourir aux urgences des suites de la piqûre de scorpion. Elle a ensuite été placée à la morgue, où. son corps a été enterré dans sa ville natale.

Il est à noter que le ministère de Khaled Ait Talib et Kalint avait précédemment mis en garde contre le danger des piqûres de scorpions et des morsures de serpents, soulignant qu’avec chaque été, il y avait une augmentation des cas d’infection dans certaines régions, notamment dans les zones rurales. zone et que le danger réside surtout chez les enfants. Il a confirmé avoir fourni aux hôpitaux des zones les plus touchées le matériel médical et les médicaments nécessaires, et avoir également distribué des quantités suffisantes d’une formule médicinale contre les piqûres de scorpion et de sérums anti-morsure de serpent. , précisant que le sérum anti-scorpion n’est plus utilisé en raison de son efficacité thérapeutique.

Ici, dans la province de Settat, beaucoup s’interrogent sur l’absence de campagnes de sensibilisation, car il n’y a pas de réunions de presse ni de bulletins publicitaires qui révéleraient les procédures suivies à cet égard, notant que de nombreux citoyens s’interrogent sur la part de Hassan II. L’hôpital de Settat a-t-il reçu ces vaccins et a-t-il effectivement été atteint ou non ? D’autant plus que certaines zones de la région sont un terrain fertile pour des types de toxines, notamment dans la région d’Al-Buruj, où ces organismes toxiques enregistrent une forte activité agressive, surtout en été en raison du climat chaud que connaît la région. , et les femmes enceintes restent les plus vulnérables à leurs piqûres, car elles entraînent souvent la mort. A noter que l’hôpital Hassan II de Settat se trouve à environ 70 kilomètres de la ville d’Al-Burouj, ce qui expose la vie des personnes souffrant d’empoisonnement. risque de mort avant qu’ils ne l’atteignent…

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