NOUVEAU CHOC POUR L’ALGÉRIE/ LA MINISTRE FRANÇAISE DE L’EUROPE ET DES A/E EN VISITE AU MAROC : « NOUS AVONS FAIT CE QU’IL FALLAIT. C’EST FAIT »
Nouveau choc pour l’Algérie qui ne s’attendait guère à une aussi importante visite de la cheffe de la diplomatie française au Maroc et qui a déclaré des propos qui rapprochent plus les deux pays au moment ou l’Algérie excluait cette opportunité
L’Algérie qui tablait sur le soutien de la France oublie pour autant que le Maroc a ses atouts qui lui permettent à chaque moment, chaque instant d’instaurer sa vision et son point de vue sur ceux qui veulent lui nuire
Aujourd’hui que la France a pleinement découvert que compter sur l’Algérie ne mène à rien, s’est précipitamment retourner au bercail auprès de son ami de toujours le Maroc
On reconnait aujourd’hui plus que jamais que le réalisme du Maroc prévaut toujours et que le Maroc ne peut se laisser amadouer par n’importe quelle puissance actuelle car plus fort et plus déterminé à en finir avec ceux qui voient le Maroc d’hier qui ne l’est plus, puisque le Maroc d’aujourd’hui est autre plus performant , plus futuriste et plus tolérant que jamais
Ceci dit, la ministre française de l’Europe et des Affaires Etrangères Catherine Colonna a annoncé, hier vendredi à Rabat, lors d’un point de presse conjoint avec le ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l’Etranger Nasser Bourita, à l’issue de leurs entretiens, la reprise d’ « une activité consulaire normale » avec le Maroc. La restauration d’ « une relation consulaire complète » entre les deux pays a pour objectif de « rehausser les échanges humains et de favoriser encore davantage l’imbrication profonde entre les deux sociétés qui fait que cette relation bilatérale est si singulière ».
En réponse à une question sur les visas délivrés par les consulats français au Maroc, la cheffe de la diplomatie française de répondre : « Nous avons fait ce qu’il fallait. C’est fait. Le capital humain qui existe entre nous est un atout pour les deux pays. Ces échanges sont et resteront le socle de notre relation bilatérale et son moteur pour l’avenir ».
